Le printemps approche,
chez nous les températures remontent, en europe du nord le dégel
s'amorce. La nature ouvre à nouveau ses ailes et le peuple migrateur
prépare ses bagages. La mondialisation est souvent critiquée sur son
effet néfaste sur l'environnement, mais la mairie de Paris décide de
réagir. En cette période pré-électorale, les enjeux environnementaux
sont un sujet de campagne récurent. Afin de convaincre la jeunesse la
plus large, la municipalité a décidé de construire une deuxième Tour
Eiffel du côté opposé du champ de Mars.
En partenariat avec la
Finlande, et en partie financé par la société Rovio, cette deuxième
tour doit servir à tendre un élastique actuellement en cours de
fabrication en Guyane. Quel intéret demandent certains conservateurs ?
Les personnes les plus
connectées auront sans doute remarqué depuis quelques temps
l'apparition de nouvelles espèces volatiles surnommées angry birds. Or
ces espèces migratrices un peu particulières se retrouvent bloquées en
France depuis quelques temps par faute de moyen de rentrer dans leur
pays d'origine.
Associant intérêt
politique et écologique, la mairie de Paris à donc décidé de déployer
les grands moyens afin de permettre à ces espèces exilées de retrouver
leur milieu naturel. Après étude, la communauté geek à décidé que, en
fonction des vents dominants, de la rotation de la terre, tout en
respectant les couloirs aériens... la distance optimale entre les deux
tours doit être des 553,82 mètres pour une tension optimale à la
migration des précieux oiseaux. Les premiers lancers devraient avoir
lieu autour du 10 avril, la précision des calculs réclamant de nombreux
paramètres, par sécurité, le port du casque est recommandé pour toutes
les populations situées entre Paris et Helsinki... et les quelques
kilomètres autours !
Ainsi la mairie de
Paris espère s'associer à une migration très précieuse pour l’Europe du
nord qui s'est peu à peu déséquilibrée suite au départ impromptu de tous
ces oiseaux et gagner l'électorat des jeunes générations.
Bidon Futé
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